RAFALE, UN NOUVEAU SOUFFLE SUR LE HAUT DE GAMME DE RENAULT
Chez Renault, les noms sont toujours porteurs de sens voire d’histoire. Et même souvent des deux! C’est le cas avec Rafale. Référence à un passé parfois oublié, ce patronyme convient parfaitement au positionnement, à l’image, au design, en un mot à l’univers du futur SUV coupé qui incarnera le haut de gamme Renault dans quelques semaines. Pourquoi? Sylvia nous en dit plus.
«Peu de gens le savent, mais le nom Rafale appartient à Renault et fait partie de l’histoire de la marque. Et aujourd’hui nous l’utilisons pour la première fois pour nommer un véhicule.» Sylvia, Responsable de la stratégie des appellations à la Direction Global Marketing de la marque Renault
Un nom de renom
Qui ne connait pas le nom Rafale? Il est chargé d’histoire et d’un prestigieux palmarès de records dans l’aviation française. Cet héritage débute d’ailleurs avec Louis Renault il y a 89 ans. On le sait peu mais ce nom appartient à Renault depuis 1936.
Au début du XXe siècle, Renault est pionnier dans la confection de moteurs à explosion pour les voitures mais aussi pour les trains (autorail) et même les avions. «A travers cet engagement dans l’aéronautique, Renault avait déjà le souci de la performance et du dépassement» commente Sylvia.
Passionné d’aviation, Louis Renault, fondateur des automobiles éponymes, fait l’acquisition en 1933 des sociétés d’aviation Caudron. Il crée alors la société Caudron Renault et renomme tous les avions Caudron par des noms de vent: le C460 devient Rafale en 1934, le C500 Simoun, le C640 Typhon et le C714 Cyclone.
Le premier Rafale de l’histoire, le Caudron Renault C460, est un avion monoplace de course. Conçu pour les records, il n’est produit qu’en une poignée d’exemplaires. Cette confidentialité aurait pu le faire tomber dans l’oubli. L’audace stylistique dictée par un aérodynamisme à la pointe et les performances hors du commun de cet avion ont néanmoins marqué à jamais l’histoire de l’aéronautique et l’ont hissé au rang de mythe.
«L’esprit pionner et le goût pour le dépassement de soi étaient aussi présents chez les fameux aviateurs et aviatrices comme Maryse Bastié et Hélène Boucher» précise Sylvia.
C’est à bord du Rafale que la célèbre Hélène Boucher a battu plusieurs records de vitesse dont celui du record du monde féminin de vitesse sur 1’000 kilomètres en atteignant 445 km/h le 11 août 1934.
Clin d’œil de l’histoire, «la base d’entrainement et les pistes de l’aérodrome Caudron Renault étaient situées à Guyancourt, là où se trouve l’actuel Technocentre de Renault» sourit Sylvia.
Une ligne à couper le souffle
La ligne si particulière du Caudron Renault Rafale était le fruit des travaux de Marcel Riffart. Cet ingénieur aérodynamicien de génie a également travaillé sur le design d’automobiles Renault, dont la Nervasport et la Viva Grand Sport. Unique en son genre, cette dernière était un modèle extrêmement luxueux motorisé par un 6 cylindres en ligne. Sur les publicités de l’époque, Hélène Boucher, alors sous contrat avec Renault, vantait les mérites de la Viva Grand Sport à son volant.
L’aviation comme l’automobile est une discipline pionnière, motrice de progrès et d’innovation. A la hauteur de son illustre héritage patronymique, Nouveau Renault Rafale vise l’excellence en matière de design et d’aérodynamisme. Par sa ligne à couper le souffle, il se veut le SUV coupé emblématique du haut de gamme à la française de Renault.
«Ce nom Rafale est immédiatement associé à la technologie, à la performance, à l’audace, également au plaisir de conduite et à l’agilité» ajoute Sylvia. «En s’appuyant sur notre histoire, Rafale est un nom résolument signifiant qui véhicule parfaitement le positionnement de notre futur SUV coupé haut de gamme. Je suis sûr qu’un futur prometteur s’annonce pour Rafale aux côtés des autres véhicules de la gamme Renault» précise Sylvia.
Nouvel air sur le haut de gamme
Nouveau Rafale incarnera donc le haut de la gamme Renault. Pour illustrer la grande offensive de la marque sur le segment D, conjointement à Nouvel Espace, il fallait à ce modèle un nom fort, impactant, empreint de caractère. Loin d’être ordinaire, le choix du nom Rafale est plein de sens et de cohérence.
Force est de constater que le nom Rafale suscite immédiatement des émotions. Il évoque inconsciemment tout un univers, notamment pour sa référence à l’aviation. «Dans les années 30, la technologie utilisée dans l’aviation Caudron Renault était un vrai laboratoire pour développer les futures voitures, de la même manière que la Formule 1 est aujourd’hui une source de technologie pour nos véhicules actuels» commente Sylvia.
Par sa consonnance accrocheuse et parce qu’il désigne une force de la nature, ce nom inspire tout naturellement la pénétration dans l’air. Dans l’aviation comme dans l’automobile, Rafale se lie à la notion d’aérodynamisme et d’efficience. Particulièrement à propos pour nommer une automobile à la ligne fuselée. «Rafale évoque le vent, qui sculpte sa carrosserie aérodynamique. Il renvoie tout de suite à la silhouette fuselée et au caractère fort de notre véhicule.» affirme Sylvia.
Enfin et c’est loin d’être un détail, Rafale est un nom français. Il symbolise l’excellence à la française.«Le mot Rafale comme nos autres noms Austral et Espace vient puiser dans notre ADN en rappelant nos racines françaises» conclut Sylvia.
«Peu de gens le savent, mais le nom Rafale appartient à Renault et fait partie de l’histoire de la marque. Et aujourd’hui nous l’utilisons pour la première fois pour nommer un véhicule.» Sylvia, Responsable de la stratégie des appellations à la Direction Global Marketing de la marque Renault
Un nom de renom
Qui ne connait pas le nom Rafale? Il est chargé d’histoire et d’un prestigieux palmarès de records dans l’aviation française. Cet héritage débute d’ailleurs avec Louis Renault il y a 89 ans. On le sait peu mais ce nom appartient à Renault depuis 1936.
Au début du XXe siècle, Renault est pionnier dans la confection de moteurs à explosion pour les voitures mais aussi pour les trains (autorail) et même les avions. «A travers cet engagement dans l’aéronautique, Renault avait déjà le souci de la performance et du dépassement» commente Sylvia.
Passionné d’aviation, Louis Renault, fondateur des automobiles éponymes, fait l’acquisition en 1933 des sociétés d’aviation Caudron. Il crée alors la société Caudron Renault et renomme tous les avions Caudron par des noms de vent: le C460 devient Rafale en 1934, le C500 Simoun, le C640 Typhon et le C714 Cyclone.
Le premier Rafale de l’histoire, le Caudron Renault C460, est un avion monoplace de course. Conçu pour les records, il n’est produit qu’en une poignée d’exemplaires. Cette confidentialité aurait pu le faire tomber dans l’oubli. L’audace stylistique dictée par un aérodynamisme à la pointe et les performances hors du commun de cet avion ont néanmoins marqué à jamais l’histoire de l’aéronautique et l’ont hissé au rang de mythe.
«L’esprit pionner et le goût pour le dépassement de soi étaient aussi présents chez les fameux aviateurs et aviatrices comme Maryse Bastié et Hélène Boucher» précise Sylvia.
C’est à bord du Rafale que la célèbre Hélène Boucher a battu plusieurs records de vitesse dont celui du record du monde féminin de vitesse sur 1’000 kilomètres en atteignant 445 km/h le 11 août 1934.
Clin d’œil de l’histoire, «la base d’entrainement et les pistes de l’aérodrome Caudron Renault étaient situées à Guyancourt, là où se trouve l’actuel Technocentre de Renault» sourit Sylvia.
Une ligne à couper le souffle
La ligne si particulière du Caudron Renault Rafale était le fruit des travaux de Marcel Riffart. Cet ingénieur aérodynamicien de génie a également travaillé sur le design d’automobiles Renault, dont la Nervasport et la Viva Grand Sport. Unique en son genre, cette dernière était un modèle extrêmement luxueux motorisé par un 6 cylindres en ligne. Sur les publicités de l’époque, Hélène Boucher, alors sous contrat avec Renault, vantait les mérites de la Viva Grand Sport à son volant.
L’aviation comme l’automobile est une discipline pionnière, motrice de progrès et d’innovation. A la hauteur de son illustre héritage patronymique, Nouveau Renault Rafale vise l’excellence en matière de design et d’aérodynamisme. Par sa ligne à couper le souffle, il se veut le SUV coupé emblématique du haut de gamme à la française de Renault.
«Ce nom Rafale est immédiatement associé à la technologie, à la performance, à l’audace, également au plaisir de conduite et à l’agilité» ajoute Sylvia. «En s’appuyant sur notre histoire, Rafale est un nom résolument signifiant qui véhicule parfaitement le positionnement de notre futur SUV coupé haut de gamme. Je suis sûr qu’un futur prometteur s’annonce pour Rafale aux côtés des autres véhicules de la gamme Renault» précise Sylvia.
Nouvel air sur le haut de gamme
Nouveau Rafale incarnera donc le haut de la gamme Renault. Pour illustrer la grande offensive de la marque sur le segment D, conjointement à Nouvel Espace, il fallait à ce modèle un nom fort, impactant, empreint de caractère. Loin d’être ordinaire, le choix du nom Rafale est plein de sens et de cohérence.
Force est de constater que le nom Rafale suscite immédiatement des émotions. Il évoque inconsciemment tout un univers, notamment pour sa référence à l’aviation. «Dans les années 30, la technologie utilisée dans l’aviation Caudron Renault était un vrai laboratoire pour développer les futures voitures, de la même manière que la Formule 1 est aujourd’hui une source de technologie pour nos véhicules actuels» commente Sylvia.
Par sa consonnance accrocheuse et parce qu’il désigne une force de la nature, ce nom inspire tout naturellement la pénétration dans l’air. Dans l’aviation comme dans l’automobile, Rafale se lie à la notion d’aérodynamisme et d’efficience. Particulièrement à propos pour nommer une automobile à la ligne fuselée. «Rafale évoque le vent, qui sculpte sa carrosserie aérodynamique. Il renvoie tout de suite à la silhouette fuselée et au caractère fort de notre véhicule.» affirme Sylvia.
Enfin et c’est loin d’être un détail, Rafale est un nom français. Il symbolise l’excellence à la française.«Le mot Rafale comme nos autres noms Austral et Espace vient puiser dans notre ADN en rappelant nos racines françaises» conclut Sylvia.